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Crise sanitaire et urbanisation

Crise sanitaire et urbanisation : clés de lecture pour un urbanisme durable

Comment la crise sanitaire actuelle révèle avec plus d’acuité nos fragilités et questionne le devenir de nos territoires urbains.

La crise sanitaire actuelle nous révèle les failles et les fragilités de nos modes de vie et de consommation. Elle nous rappelle avec force la menace qui pèse sur notre biodiversité.

En effet, nombre de chercheurs font le lien entre les différents virus qui se développent ces dernières années, (SRAS, grippe aviaire, Ebola, maladie de Lyme, coronavirus, etc.) avec la perte de la biodiversité. (cf. émission de France culture du 9/4/2020 avec Gilles Bœuf, ancien Président du Muséum d’histoire naturelle.)

Aujourd’hui, outre la crise sanitaire actuelle, plusieurs facteurs menacent notre santé et notre sécurité :

  • Pollutions mortifères liées à nos mobilités, notre agriculture et nos modes de consommation,
    • Augmentation des maladies chroniques : diabètes, allergies, cancers, etc.
  • Augmentation des phénomènes climatiques : inondations, canicules, etc.

Autant de facteurs qui sont liés à nos modes de vie et qui constituent autant de défis pour le devenir de nos territoires urbanisés.

Or, de tous temps, la ville s’est organisée pour assurer la sécurité, la santé, ainsi que la sécurité alimentaire de ses habitants. Qu’en sera-t-il pour nous au sortir de cette crise ? Quels changements devrons nous apporter à nos méthodes, à nos modèles ?

Parallèlement, cette crise donne un coup d’accélérateur incroyable au développement de nos modes de communication numériques. Elle vient entériner l’usage massif du télétravail.

Ceci amène plusieurs observations :

  • Comment nos logements devront ils s’adapter pour accueillir cette activité à la maison ?
  • Où allons nous habiter demain ? Encore plus loin de nos lieux de travail ?
  • Ce développement va-t-il nous permettre d’habiter dans des campagnes plus éloignées encore de nos lieux d’activité et redonner une chance à nos communes rurales de se développer ?

Aujourd’hui, nous devons requestionner nos modes de vie et de consommation (circuits courts, indépendance alimentaire), nos mobilités, nous interroger aussi  sur nos modes d’habiter : quelles formes urbaines pour demain ?

Rénovation thermique et matériaux biosourcés

Antoinette Le Bouteiller s’est spécialisée dans :

  • la rénovation thermique et

  • l’utilisation des matériaux bio sourcés.

Elle a suivi la formation :

Feebat module 5a et 5b : Rénovation à faible impact énergétique de bâtiments existants, recherche de performance et confort d’usage, organisée par AI Environnement en 2019.

Elle a également suivi d’autres formations :

Rénovation performante, ASDER ARCANE

Energies Renouvelables, Université de Perpignan

Découvrir le bâtiment biosourcéKaribati et Ville & Aménagement Durable

Construction chanvre, Ecole nationale du Chanvre 

Le réemploi, matières à bâtir, ICEB

Les matériaux biosourcés et le confort d’été

Savez-vous que les isolants biosourcés sont plus performants en terme de confort d’été ?

C’est une question de temps de déphasage. Le temps de déphasage est le temps que met le matériau à restituer la chaleur stockée. C’est une question d’inertie. Par exemple, pour une laine de verre de 10 cm, le temps de déphasage est de 2,3 heures. Pour de la fibre de bois de 12 cm d’épaisseur, le temps de déphasage est de 13 h.

Cela vaut le coup d’y réfléchir lorsque l’on s’apprête à vivre des périodes de canicule de plus en plus fréquentes !

À qui s’adresse un toit sous mon toit ?

Un Toit sous mon Toit s’adresse à vous, propriétaire de patrimoine immobilier.

Vous souhaitez financer l’isolation thermique de votre logement ?

  • Un Toit sous mon Toit vous aide à trouver les subventions auxquelles vous pouvez prétendre, et étudie la possibilité de louer une partie de votre espace pour en tirer des revenus locatifs.

Vous êtes retraité, vous souhaitez rester dans une grande maison, alors que vos revenus  baissent et vos charges augmentent (prix de l’énergie en particulier).

Vous êtes une famille et devez financer les études de vos enfants.

Vos revenus baissent du fait de la crise économique et vous vous demandez si vous aller pouvoir rester dans votre maison.

Vos charges augmentent : prix de l’énergie, enfants étudiants par exemple.

Vous souhaitez loger une aide à domicile, une jeune fille au pair.

Vous souhaitez adapter votre logement à votre mobilité qui se réduit.

Ou vous souhaitez tout simplement participer à la création de logements.

Ou encore, vous avez des dépendances à mettre en valeur.

Un Toit sous mon Toit vous aide à définir votre projet, à calculer les dépenses et les recettes en fonction d’un calendrier de travaux. Une fois le projet validé, Un Toit sous mon Toit assure la maîtrise d’œuvre de votre projet jusqu’à sa réalisation.

Vos revenus sont modestes ? Profitez des programmes « Habiter mieux » de l’ANAH

ANAH : Agence Nationale pour l’Amélioration de l’Habitat

Le programme « Habiter mieux » de l’ANAH propose aux propriétaires des aides pour l’amélioration énergétique de leurs logements, sous conditions de ressources.  Selon vos revenus, vous pourrez financer entre 50 et 80 % de vos travaux. Pour en savoir plus, cliquez sur le lien suivant : :https://www.anah.fr/proprietaires/proprietaires-occupants/etre-mieux-chauffe-avec-maprimerenov/